There are several techniques to flatting, but all can agree that the lines between each different colored section must be solid (that means unchecking the “anti-aliasing” box in Photoshop), that there should be no empty space between the sections, and that the more the inked lines are closed and clean, the easier the job is. They also agree that having a layer reserved specifically for the flatting is ideal and that the colors should be different enough from each other to be able to be tweaked individually later, when the final coloring is happening.
There are several ways to flat: more traditional methods are available in Photoshop (though there are now plugins for it to help), the process gets a bit more automated when using Clip Studio (aka Manga Studio), and there’s this interesting and free app on the web which does it all automatically (though you tend to have to tweak more, but at least the bulk of the job is done quicker).
If you’re wondering how much to pay someone for flatting because you can’t be bothered to do it yourself (much like me), then here’s the rates (In Canadian): if you don’t have a conscience you can ship it to China for less than 10$ a page, you can find students and volunteers that have no previous flatting experience who you should pay anywhere between 10$ and 20$ a page, but if you’re dealing with a professional, then it’s generally acceptable to do it for 20$ to 30$ a page. People who have better things to do in life will often ask for 30$ to 35$ a page, and that should also be seen as acceptable.
That said, if you’ve got only a few pages of comic to work on, then it’s all good, you can ignore flatting. However, once those pages start to add up and you have several scenes, and the characters and environments come back every now and again, watch out... because when you have to fill in the same shrub every frame for a 10-page scene, it gets long and boring and requires at least a Netflix membership.
To be continued...
Y’a plusieurs techniques de flatting, mais tout le monde est d’accord que les lignes entre chaque section colorée doit être solide (ce qui signifie décocher la case "anti-aliasing" dans Photoshop), qu'il devrait pas y avoir d'espace vide entre les sections, et que plus les lignes encrées sont fermées et propres, plus le travail est facile. Ils sont également d’accord qu'une couche réservée spécifiquement pour le flatting est idéal et que les couleurs devraient être suffisamment différentes les unes des autres pour pouvoir être ajustées individuellement plus tard, lorsque la coloration finale a lieu.
Il y a plusieurs façons de flatter: des méthodes plus traditionnelles sont disponibles dans Photoshop (bien qu'il y ait maintenant des plugins pour l'aider), le processus devient un peu plus automatisé avec Clip Studio (aka Manga Studio), et il y a cette application intéressante et gratuite sur le web qui le fait automatiquement (bien qu’on a tendance à vouloir modifier le résultat, mais au moins la majeure partie du travail est fait plus rapidement)
(Si vous vous demandez combien il faut payer pour un flatteur parce que ça vous tente pas de le faire vous-même (comme moi), voici les tarifs (En Canadien): si vous avez aucune conscience, vous pouvez l'expédier en Chine, pour moins de 10 $ la page, vous pouvez trouver des étudiants et des bénévoles qui n'ont pas d'expérience préalable et qui devraient recevoir entre 10 $ et 20 $ la page, mais si vous faites affaire avec un professionnel, c'est généralement acceptable de le faire pour 20 $ à 30 $ la page. Les gens qui ont de meilleures choses à faire dans la vie demanderont souvent 30 à 35 $ la page, et ça devrait aussi être considéré comme acceptable.)
Ceci dit, si on a seulement quelques pages de BD à travailler, alors on peut ignorer le flatting et faire toute la couleur en une shot. Cependant, une fois que le nombre de pages commence à se multiplier et qu’on a plusieurs scènes, genre, que les personnages et les environnements reviennent de temps en temps, là, faut faire attention ... parce que quand on doit remplir le même arbuste dans chaque cadre pour une scène de 10 pages, ça devient long et ennuyeux et ça nécessite au moins une adhésion à Netflix...
À suivre...